L’existence du Cercle a beaucoup évolué en 27 ans d’existence.

D’une diffusion très locale nous avons évolué vers Bruxelles et ses extensions. Si, tout au long de ces années, nous avons parfois mis en avant le travail énorme réalisé par nos bénévoles, il faut savoir aussi que beaucoup de nos réalisations n’auraient pas été possibles sans l’aide de plusieurs autorités locales et régionales.

La Région nous soutient depuis de nombreuses années et nous donne l’occasion  de présenter notre Cercle lors des fêtes de l’Iris.

Goethe, dans ses Conversations, écrivait que « Les braves gens ne savent pas ce qu’il en coûte de temps et de peine pour apprendre à lire. J’ai travaillé à cela quatre-vingts ans, et je ne peux pas dire encore que j’y sois arrivé. »

Suite à une longue conversation avec quelques dignes représentants de notre capitale, je me permets de paraphraser Goethe en rappelant que (trop) nombreux sont les Bruxellois qui ne savent pas ce qu’il en coûte de temps, de peine et d’argent pour sauvegarder notre patrimoine bruxellois. Des bourgmestres, depuis Charles Buls, y ont inlassablement travaillé et y travaillent encore. Hélas, si certains résultats sont reconnus par la communauté internationale, il n’en va pas de même au niveau local.

Ce constat malheureux m’oblige à poser plusieurs questions aux hommes et femmes qui nous dirigent, tant au niveau local qu’au niveau régional.