La zwanze est une blague, une mystification. Un zwanzeur roule diaboliquement ses victimes dans la farine, avec un sérieux pontifical. Il est le dernier à avoir le droit de rire des âneries qu’il raconte.
Le mot dérive de l’allemand Schwanz, qui signifie : queue et par extension, le membre viril. Son homonyme bruxellois est zwans, qui a donné naissance au mot français zwanze qui figure dans le Larousse et le Petit Robert, l’un et l’autre avec deux « z ».